Le Groupe a mis en exergue le large éventail des participants à l’exercice CARIBE WAVE 11 : outre 35 pays et territoires, 28 organismes privés locaux, qui ont soumis des comptes rendus, 188 établissements scolaires et 130 entités privées (hôtels, exploitants de ports, médias). Dans l’ensemble, les participants ont tous exprimé leur satisfaction, la plupart des objectifs de l’exercice ayant été atteints. L’exercice a été utile car il a permis de déterminer les lacunes du système. Le GIC a décidé de procéder à un nouvel exercice en mars.
S’agissant du CTWC, les États-Unis ont rappelé que l’on avait adopté une démarche graduelle. Le GIC a noté les progrès réalisés par les États-Unis dans ce processus de création par étapes et décidé d’accepter la proposition de la République bolivarienne du Venezuela et le Nicaragua d’élaborer le mandat d’un centre de secours qui sera créé tandis que l’exécution des plans établis par les États-Unis avançait.
Un voyage sur le terrain a conduit les participants à Matancita, village détruit par le tsunami de 1946 qui met en œuvre, au niveau de la population, des plans de réponse aux tsunamis. Les délégués ont pu interroger les survivants du tsunami et échangé des vues avec eux.
Le GIC a noté les progrès réalisés quant à l’initiative de l’UNESCO relative à l’état de préparation d’Haïti aux risques côtiers. Il a décidé de tenir en mars 2012 sa septième session, que Curaçao a généreusement offert d’accueillir. Trinité-et-Tobago a offert d’accueillir la huitième session en 2013.